Rassemblement des défenseurs de l'empereur et des institutions impériale
Posté : 03 janv. 2020, 22:04
Les récentes accusations visant le souverain semblaient avoir déclenché un vaste climat quasi insurrectionnel voire méme républicain, c'est ainsi que les abords du Palais furent emplis d'une fort grande manifestation dédiée au changement, p'our ne pas dire à quelque révolution.. Il semblait que l'Empire vacillait peu ou prou tout au moins dans sa forme traditionnelle.
Pour les défenseurs de l'empereur, quant à eux, qu'on attaquàt ainsi sa personne sacrée et les institutions, représentait le plus odieux complot contre les valeurs fondamentales de la nation. Ils tinrent alors à clamer haut et fort toute leur fureur contre ces attaques, et leur positionnement inconditionnel en faveur du souverain et des structures de l'Empire.
Ce fut sur une place modeste, loin des opposants, en Place du Vieux Marché, qu'ils parvinrent à réunir, au soir du 3, tout au plus quelques milliers de fidèles. Il faut dire que les difficultés techniques n'avaient pas manqué, car beaucoup ne maîtrisaient encore qu'imparfaitement les réseaux sociaux. Et puis le vent de l'histoire ne leur semblait plus ou pas encore favorable. Néanmoins, ils réussirent à rendre publique une protestation au moins symbolique et au ton tout à fait radical.
Le fait que ces partisans du souverain manquent alors de nombre et d'audience, le fait qu'ils se sentissent isolés et trahis, se ressentait dans l'exaspération qu'ils manifestaient, et dans la force des slogans qu'ils époumonnaient, qualifiant par exemple de traître le chef du gouvernement.
Il est certain que ce rassemblement était composé de gens hétéroclites quoique unis dans la même optique. Parmi les personnes ayant appelé à ce rassemblement se trouvait par exemple une certaine Fromteg, encore parfaitement inconnue à cette date, et pour qui la hiérarchie la plus stricte, la discipline et l'ordre représentaient des valeurs littéralement absolues quoique non précisément politiques.
Pour les défenseurs de l'empereur, quant à eux, qu'on attaquàt ainsi sa personne sacrée et les institutions, représentait le plus odieux complot contre les valeurs fondamentales de la nation. Ils tinrent alors à clamer haut et fort toute leur fureur contre ces attaques, et leur positionnement inconditionnel en faveur du souverain et des structures de l'Empire.
Ce fut sur une place modeste, loin des opposants, en Place du Vieux Marché, qu'ils parvinrent à réunir, au soir du 3, tout au plus quelques milliers de fidèles. Il faut dire que les difficultés techniques n'avaient pas manqué, car beaucoup ne maîtrisaient encore qu'imparfaitement les réseaux sociaux. Et puis le vent de l'histoire ne leur semblait plus ou pas encore favorable. Néanmoins, ils réussirent à rendre publique une protestation au moins symbolique et au ton tout à fait radical.
Le fait que ces partisans du souverain manquent alors de nombre et d'audience, le fait qu'ils se sentissent isolés et trahis, se ressentait dans l'exaspération qu'ils manifestaient, et dans la force des slogans qu'ils époumonnaient, qualifiant par exemple de traître le chef du gouvernement.
Il est certain que ce rassemblement était composé de gens hétéroclites quoique unis dans la même optique. Parmi les personnes ayant appelé à ce rassemblement se trouvait par exemple une certaine Fromteg, encore parfaitement inconnue à cette date, et pour qui la hiérarchie la plus stricte, la discipline et l'ordre représentaient des valeurs littéralement absolues quoique non précisément politiques.